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2ème Salon du Collectionneur de Tlemcen

jeudi 20 mars 2014

Fleurs d’arbres fruitiers à Tlemcen: Le pommier

Parmi les espèces fruitières, le pommier "Malus communis", qui est avec le poirier, celui qui a la floraison la plus tardive ; elle s’étale généralement du début à la fin du mois d’avril.
Ses fleurs à 5 pétales blancs ou roses, suivant les variétés, n’éclosent qu’après l’apparition des premières feuilles.
Pour avoir une fructification satisfaisante, l’espèce a besoin à la fois de températures froides en hiver et chaudes au printemps.
Occupant environ 12 000 ha, on peut citer, parmi les zones privilégiées, les bassins versants de la wilaya de Médéa, les vallées des oueds Cheliff et Soummam, les piémonts de Kabylie et bien entendu les coteaux de Tlemcen.
Algérie poste avait émis le 09/02/1978, une superbe série de 04 timbres dédiée aux "Fleurs d'arbres fruitiers" dont le concepteur est inconnu, mais dont le travail avait été confié à la renommée imprimerie "Courvoisier"
j'ai eu la chance de recevoir une carte postale qui a voyagé le 14/08/1979 depuis Alger Gare vers Paris en France et affranchie d'un timbre de la série dédié au pommier:
 Les autres timbres de la série étaient quand à eux dédiés aux:
Cerasus avium: Cerisier
Persica vulgaris: Pêchier
Amygoalus communis: Amandier
- / :  Notons cette intéressante flamme postale dédiée à la "Protection Civile":

La Protection Civile
Service Public 
pour la sauvegarde 
des Personnes 
et des Biens




- / :  Coté Vue: une vue aérienne sur e port de plaisance d'Alger et l'Amirauté:
L’Amirauté d'Alger partie d'un abri naturel constitué de rochers fut depuis son occupation par les Espagnols au début du XVIe siècle et jusqu'en 1830, le cœur de la ville d'Alger. Un vrai port ou des corsaires partaient en expédition et ramenaient leurs riches prises: navires, esclaves et marchandises, qui faisaient la fortune de la ville et qui contribuaient à maintenir la puissance des Turcs, maîtres des lieux.
Au moment de la prise d'Alger par les Français en 1830, l'îlot de l'Amirauté était défendu du côté de la mer par une ligne de batterie et La tour du phare, appelée par les indi­gènes Bordj-el-Fénard qui renfermait une citerne d'une capacité de 750 tonnes au-dessus de laquelle est une vaste salle voûtée qui était le quartier général des canonniers turcs et le lieu de leurs réunions.
En dehors des établissements militaires, il existait à l'Amirauté une fontaine ornementale et deux édifices religieux, un marabout et une mosquée. La fontaine située auprès du pavillon de l'amiral existe encore; elle a été construite par Ali Pacha qui fut dey d'Alger de 1754 à 1766. Le marabout est consacré à Sidi-Brahim El Robérini El-Bahri. Les restes de ce saint personnage auraient été inhumés en cet endroit avant la construction des batteries dans lesquelles le monument est encastré. Sidi-Brahim serait venu à Alger par la mer, c'est pourquoi on lui a donné le surnom d'El-Bahri (le marin). Il est l'objet d'un culte particulier de la part des marins musulmans d'Alger.
Le port de plaisance: un port de plaisance international, ou 600 bateaux peuvent accoster dans 13 quais

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