- / : Vers la fin du 19ème
siècle, le sculpteur Frédéric-Auguste Bartholdi, (1834-1904) est le témoin, lors de la guerre entre la France et la
Prusse, de la défense héroïque de la région de Colmar soumise à
un
déluge de feu de 73 jours. Sa résistance vaut
à la ville d’être détachée du Haut-Rhin annexé, et de former le territoire de Belfort.
- / : C'est
donc tout naturelement, que la ville décide de s'ériger un monument à
la mémoire des victimes du conflit dans un pré qu'on nommera "Cimetière
des mobiles" et qui sera confié à l'artiste Bartholdi, qui accepte sous
certaines conditions, dont le choix de l'emplacement.
L’œuvre
est achevé en 1880, 8 ans après le début du chantier. Mais il faut
attendre qu'une reproduction en plâtre ait été acheté par Paris et mise
sur une place et qui provoqua un énorme intérêt chez les parisiens pour
que les autorités de Belfort revendiquent fièrement son appartenance à
la ville.
- / : La poste
française avait émis un timbre consacré au territoire de Belfort qui,
traversé par la rivière "La Savoureuse", compte parmi ses monuments, le
Lion mis en valeur sur le timbre présent sur la lettre envoyée un jour spécial, un 12/12/12:
- Le timbre de 0,60 euro illustre l’œuvre du sculpteur Frédéric-Auguste Bartholdi, ce
lion a été érigé en hommage à la résistance héroïque des belfortains, pendant la guerre de 1870, contre les prussiens. Une célèbre réplique de ce lion, en hommage au colonel Denfert-Rochereau, grand défenseur de Belfort, est installée sur la place éponyme dans le 14e arrondissement de Paris.
lion a été érigé en hommage à la résistance héroïque des belfortains, pendant la guerre de 1870, contre les prussiens. Une célèbre réplique de ce lion, en hommage au colonel Denfert-Rochereau, grand défenseur de Belfort, est installée sur la place éponyme dans le 14e arrondissement de Paris.
- L'autre timbre fait parti des émissions spéciales émises lors de la Fête du timbre 2012 organsinée le 13 et dimanche 14 octobre 2012, dans plus
d’une centaine de villes en France. C’est le Feu qui est
à l’honneur et qui s’illustre donc sur toutes ces émissions spéciales de timbres dont ce timbre Marianne dit d’usage courant “Le timbre fête le feu”. La
Marianne de Beaujard, gravée en taille-douce, est illustrée, pour l'évènement, d’une flamme
olympique, symbole de paix entre les nations qui participent aux Jeux
Olympiques.
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