 rêmement importante pour les  élèves, les étudiants et même les étrangers qui s’intéressent à  l’histoire par le biais du timbre ». Pour combler ce déficit, Algérie  Poste a mis sur le site les informations concernant les quatre premières  émissions du programme de 2012. Donc, à chaque émission d’un nouveau  timbre, il faut entrer dans le site dans les 24 heures qui suivent la  date de l’émission, télécharger en PDF, ensuite imprimer la notice.  Mais comment fait un philatéliste qui n’a pas Internet ? La question  reste sans réponse. Ce même collectionneur soulignera que la plupart des wilayas ne disposent pas de cachet pour l’oblitération de la lettre du premier jour.  Au niveau d’Algérie Poste, l’employé en charge du service de philatélie explique que ce désagrément est dû essentiellement à la non-disponibilité de l’imprimeur. « Dès que l’imprimeur sera identifié et remplira les conditions du cahier des charges, on reprendra les impressions des notices », indiquera Ahmed Yousfi, directeur d’étude du projet de la philatélie au niveau du ministère de la Poste et des Technologies de la communication et de l’information. Il ajoutera que "ce désagrément sera surmonté avant le mois de juillet prochain".
rêmement importante pour les  élèves, les étudiants et même les étrangers qui s’intéressent à  l’histoire par le biais du timbre ». Pour combler ce déficit, Algérie  Poste a mis sur le site les informations concernant les quatre premières  émissions du programme de 2012. Donc, à chaque émission d’un nouveau  timbre, il faut entrer dans le site dans les 24 heures qui suivent la  date de l’émission, télécharger en PDF, ensuite imprimer la notice.  Mais comment fait un philatéliste qui n’a pas Internet ? La question  reste sans réponse. Ce même collectionneur soulignera que la plupart des wilayas ne disposent pas de cachet pour l’oblitération de la lettre du premier jour.  Au niveau d’Algérie Poste, l’employé en charge du service de philatélie explique que ce désagrément est dû essentiellement à la non-disponibilité de l’imprimeur. « Dès que l’imprimeur sera identifié et remplira les conditions du cahier des charges, on reprendra les impressions des notices », indiquera Ahmed Yousfi, directeur d’étude du projet de la philatélie au niveau du ministère de la Poste et des Technologies de la communication et de l’information. Il ajoutera que "ce désagrément sera surmonté avant le mois de juillet prochain".Source: Horizons.com
Auteur: F.Rabéa
Daté du 15/04/2012
 
 
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