Contrairement aux timbres à usage courant en Algérie qui ont une durée de vie variable ( la dernière encore en circulation, l'est depuis 2004), la CIPS ( Cayman Island Postal Service's), l'administration postale des Iles Caïmans, s'arrange pour leur donner une durée de vie d'environ 5 années. Cette durée est vécue comme un deuil pour les philatélistes lors de fin de séries intéressantes. Il allait presque être le cas lors de la fin de mise en circulation de la série courante en 2006 dédiée aux différents moyens de transport aux iles caïmans et émise 5 ans auparavant le 29/09/2001 ( 12 valeurs représentant différents moyens de transport allant de l’âne à l'avion en passant par la bicyclette). Beaucoup de bavardages philatélique avant d’accueillir la nouvelle série émise le 09/10/2006 et coïncidant avec la journée mondiale de la poste. Cette série fut dédiée à certains oiseaux endémiques des iles Caïmans décrits par Patricia E. Bradley et Yves-Jacques Rey-Millet. Donc 11 oiseaux endémiques et une espèce indigène.
J'ai eu la chance de recevoir un exemplaire parmi les 12 timbres colorés mettant en vedette la Paruline vitellin sur une jolie carte postale envoyée le 17/03/2012 du district de Noth Side situé sur l'ile de Grand Caïman:
Ce timbre de 50c représente l'un des deux des oiseaux terrestres illustrées dans cette série de timbres et qui sont répertoriés au niveau international comme des espèces menacées: la Paruline vitellin. L'autre étant le Parrot Cayman.
Coté Vue: Une vue aérienne de l'ile de grand cayman, l'une des 3 iles du territoire britannique d'outre-mer et qui héberge la capitale de l'archipel: George Town:
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